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Ne faîtes pas aux truies ce que vous ne voulez pas qu’on vous fît.
Lépicurien vous a transportés à Rome en compagnie de Trimalcion. Si les Gaulois avaient un faible pour les sangliers, selon Astérix, les Romains préféraient le cochon. Et sur les tables les plus raffinées de Rome, un met de choix était régulièrement servi. C’est la vulve de truie farcie. Pline dans son Histoire Naturelle rapporte qu’il préfère celles prélevées sur des truies qui n’ont eu qu’une portée alors que d’autres les préfèrent lorsque la cochonne a mis bas plusieurs fois. Pour certains, seule une truie nullipare[1] peut donner du plaisir (si j’ose dire).

LE  BLOG D'OLIF

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Petit lexique de savoir-boire à l'usage des agueusiques, des geeks et des non-comprenants
Ce petit lexique de savoir boire est probablement aussi superflu qu'un dictionnaire destiné à l'élite et aux bien nantis.Mais il ravira sans aucun doute tous ceux qui ont perdu l'usage de leurs papilles ou de leur cerveau, ainsi que ceux qui suivent, de près ou de loin, les gesticulations du petit monde du vin sur l'internet. Les costumes sont en tweed et les décors sont de Roger Hart Desproges (les photos ont été prises lors de sa tournée d'adieu).

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Trois champions français de l’huile de noix récompensés au Concours général agricole 2012

Les noyers constituent le second verger de France après les pommiers Le palmarès du Concours général agricole livre ces jours ci,  ses dernières cuvées de produits médaillés. Entre tous les piments d’Espelette, les vins, les huiles d’olive, les vanilles, les cidres, les bières, les huîtres… que vous retrouverez cités sur le site du concours, je ne résiste pas à l’envie de mentionner les huiles de noix.

Noix et huile de noix du Périgord ont une appellation d'origine contrôlée 

Promue par David Servan Schreiber dans son livre Guérir.

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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 18:27

 

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C'est dans un amphi de Agrosup Dijon à moitié rempli que Cap21, Chouette c'est bio, Agrologic en partenariat avec un collectif d'associations recevaient la visite de Élisabeth BELAUBRE, adjointe au maire de Toulouse et Sylvestre NIVET, directeur de la restauration de Poitiers. Ces deux personnes ont été invitées pour nous faire part de leurs expériences dans la mise en place de produits de l'agriculture biologique au menu des restaurants collectifs de leurs villes respectives.

Quelques généralités avant de d'aborder chacun des deux cas présentés. Tous d'abord, les choses sont bien plus simples si la restauration a quitté le statut de délégation pour celui de régie municipale. Ensuite les équipements existants sont primordiaux et la quantité de repas préparé par jour à une incidence sur le mode de fonctionnement. Il vaut mieux résonner en liaison chaude. Le mieux serait bien évidement de revenir à des cuisines autonomes. Enfin, c'est une action à mener conjointement avec tous les acteurs de la filière y compris la présence d'une ou d'un nutritionniste. Il ne faut pas se focaliser sur du tout biologique ou du un petit peu. Il faut faire entrer les produits bio progressivement en fonction des moyens économiques et des filières présentes sur le territoire. La meilleure solution est le produit bio et local et non bio ou local. A noter aussi que les organismes professionnels (hormis les GAB et GRAB) ont peu participé à ces deux démarches. Donc en résumé, ne comptons pas sur les chambres consulaires pour nous aider.

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Prenons le cas de Toulouse, ville de 440000 habitants avec 205 collèges et 25000 repas servis par jour. La démarche a pris corps en 2008 grâce notamment à l'action d'une élue adjointe à la santé et l'environnement qui a demandé au maire la délégation de la restauration. La ville de Toulouse possède une cuisine centrale déjà ancienne, mais cela n'a pas empêché le projet de se réaliser. En 4 ans l'approvisionnement bio est passé de 0 à 30 %. C'est au-delà des préconisations du grenelle de l’environnement qui prévoyait 20 % en 2012. Coté coût des repas, l'achat revient à 1,62€. La préparation à 2,87€ et le repas servis à 9,36 €. A noter la différence de coût importante entre le repas cuisiné et servi. Cela vient tout simplement de toute la logistique à mettre en place depuis la cuisine jusque vers les restaurants scolaires. Pour le prix d'encaissement, la municipalité de Toulouse utilise un prix progressif en fonction des ressources des ménages. Cela part de la gratuité pour des revenus inférieurs à 950 €,  à 3,75€ pour la tranche la plus élevée. Seul ombre au tableau du projet c'est l'intégration de légumes frais bio. En effet, la cuisine centrale ne possède pas de légumerie. La DDPP leurs a donc bien signifié qu'il était légalement impossible de faire entrer des produits bio frais dans la cuisine. La mairie de Toulouse mène donc un projet de légumerie. Une étude a déjà été faite par un groupe d'étudiants en master 2, confirmée par un bureau d'étude. Au pire, le choix d'une légumerie augmenterais la charge financière de 450000 € au regard des 1,5 millions € de dépense actuelle. Le jeu en vaut la chandelle.

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Passons au cas de Poitiers. La ville est comparable à notre agglomération de Dijon. Le projet a débuté en 2002. La restauration collective de la ville prend aussi en charge des foyers de PA et des repas livrés à domicile. Il y a deux cuisines centrales sur Poitiers. Celles-ci approvisionnent 31 restaurants scolaires, 4 foyers personnes âgées et 10 écoles petite enfance. En tout, ils préparent 6000 repas jours en liaison chaude soit presque 1 million de repas par ans. Côté chiffres, le repas servi reviens à 9 € avec 1,5 € pour les approvisionnent et 1,5€ pour l'encadrement dans les restaurants. Le passage en bio a augmenté les approvisionnements de 0,2€. Les repas sont facturés en moyenne 2,1€ aux familles. La municipalité a aussi mis en place un barème en fonction des ressources des foyers. Sinon, pour agrémenter et assembler les produits bios, la commune a passé un partenariat avec le lycée hôtelier de Poitiers. Ils mènent aussi des animations pédagogiques et utilisent un logiciel qui leurs permet de surveiller l’attrait des plats bio comparés au non bio. Pour l'instant ils ne constatent pas de différences significatives de la part des convives. On déplore quand même 17 % de rejet sur le volume de produits mis en œuvre.

En conclusion, il nous a été démontré que de passer au bio la restauration collective est juste une affaire de motivation. Les avantages sont nombreux et beaucoup d'aprioris sont tombés. C'est en effet pas plus cher. C'est économique en énergie surtout en liaison chaude. A noter qu’en liaison froide, il faut chauffer pour assembler les denrées, refroidir pour transporter et réchauffer pour servir.

La liaison chaude exige beaucoup moins d'emballages jetables qui coûtent très cher. Au niveau personnel, tout est à gagner. Des contrats à temps partiel passent à temps plein. L'économie locale s'en ressent puisque l'achat des matières premières en local injecte directement l'argent des contribuables dans le tissu des entreprises alentours. Il est à noter la satisfaction des populations qui bénéficient d'une telle démarche. Je remercie vivement les organisateurs de cette conférence et les intervenants. Maintenant il ne reste plus qu’à appliquer dans nos propres restaurants et cuisines et surtout à communiquer et proposer une réflexion et une mise en œuvre à court terme auprès de nos élus.

 

G.Vaudray. Nature et Progrès 21.

 

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 19:08

 

La 14ème édition du Bocuse d'or s'est achevée ce soir sur la victoire de la France avec Thibaut Ruggeri, son commis Julie Lhumeau et le coach Fabroce Prochasson, en présence de Paul Bocuse.
Le Bocuse d'argent revient au Danemark avec Jeppe Foldager Andresen

tandis que pour le Japon, coach

Romuald FASSENET

Noriyuki HAMADA, monte sur la troisième marche du podium, une grande première pour ce pays.


source: l'Hotellerie Restaurationphoto-1.jpg

Thibaut Ruggeri et Julie Lhumeau : Bocuse d'or 2013

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Lors de sa sélection au Bocuse d'Or Asia 2012 Noriyuki  HAMADA déclarait : « L'univers de la restauration japonaise a été gravement touché  par le tremblement de terre  de 2011. J'ai souhaité participer au Bocuse d'Or avec l’objectif de redonner de l'espoir à ce secteur, en atteignant l’une des premières places !» 
C’est chose faite avec ce Bocuse de Bronze qui met  le Japon pour la première fois sur le podium !

Le chef Hamada, soutenu par son coach Romuald FASSENET (Chef  étoilé Meilleur Ouvrier de France 2004 propriétaire du Château du Mont Joly ) et son excellent commis Masanori  SAKASHITA, a traversé la compétition en offrant une maîtrise culinaire à la fois technique, graphique et poétique. Il se classe premier dans la catégorie Poisson, en présentant un turbot aux écailles de Shiitaké  présenté dans un bento en cyprès qui a ravi, le Jury et les spectateurs.  

Le filet de bœuf irlandais  était présenté dans une étonnante croûte de sel comme un  écrin rectangulaire. L’un des accompagnements se composait d’un radis blanc, chou, plantes et fleurs, qui se déroulait comme « un parchemin issu de la nature si chère au quotidien du chef »…

 

rf3.JPGLes Lauréats du Bocuse d'Or 2013


Le Chef Nuriyuki HAMADA

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Romuald FASSENET

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Romuald Fassenet coachait l'équipe du Japon. Elle monte pour la première fois sur le podium du prestigieux concours international. Fier de son équipe, Romuald Fassenet. Le chef du Château du Mont Joly, hôtel 4 étoiles à Sampans dans le Jura savoure.
Pendant deux jours à Lyon, 24 équipes venues du monde entier se sont affrontées. Le Bocuse d'or est considéré comme le championnat du monde de la gastronomie.
Voilà trois ans que le chef jurassien coache l'équipe du Japon. Les équipes avaient 5h35 pour sublimer le bœuf irlandais, le turbo et le homard.

Du vin jaune bien sûr
Pour donner plus de saveur à sa sauce de poisson, l'équipe a marié le vin jaune du Jura au yuzu un agrume asiatique. 
Ce matin, le nom du chef japonais NORIYUKI HAMADA a été gravé devant le restaurant Bocuse à Lyon. Pour Romuald Fassenet, c'est une victoire d'avoir porté le Japon sur le podium. "Le travail paye et j'en suis heureux", explique-t-il. Tout le mois de janvier, il a entraîné l'équipe nipponne dans une école hôtelière à Lyon. Le chef jurassien allonge sa carte de visite. Il est déjà meilleur ouvrier de France. Il est étoilé au guide Michelin. La prochaine édition des Bocuse d'or aura lieu dans deux ans.

Source: Communiqué de presse CommuniClaire


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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 09:12

 

 

 

"LES DESSOUS PEU APPETISSANTS DE LA CUISINE MOLECULAIRE"


Dans un livre-enquête, le journaliste allemand Jorg Zipprick s'attaque violemment à la cuisine moléculaire pratiquée par le chef espagnol Ferran Adria, qu'il accuse d'être dangereuse pour la santé. La marmite moléculaire déborde.

En cause, les alginates, gluconates de calcium, carraghénates et autres méthylcellulose, susceptibles d'avoir, à haute dose, des effets nocifs sur la santé, et de provoquer notamment des «dissensions intestines».

Source L’EXPRESS Style

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Résultat de trois ans d’enquête auprès de chefs, chercheurs, associations de consommateurs et industriels à travers le monde, ce livre intéressera autant les détracteurs que les amateurs du «moléculaire».
Déjà, par son dernier chapitre, où un tableau (réalisé avec des scientifiques experts de chaque domaine) présente tous les additifs (du E 100 au E 1520), avec le nom, l’application, et la toxicité (ou non).
 Additifs par ordre de dangerosité Additifs par ordre de dangerosité

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Certains additifs, en raison de leur innocuité bien connue, sont utilisables en quantité libre ; d’autres et c’est la majorité sont soumis à des conditions d’usage réglementées, mais certains, au fur et à mesure des connaissances que l’on peut avoir sur eux, peuvent être considérés comme dangereux.

Quels sont ces additifs ? Comment les reconnaître ?

Additifs par ordre de dangerosité Additifs par ordre de dangerosité

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LES MODIFICATEURS DE CONSISTANCE

c’est la grande famille des « Agents de texture », utilisés dans la quasi majorité des sauces, crèmes, glaces, chocolats, margarines, confiseries, pains, pâtisseries, … ces additifs couvrent donc plusieurs rubriques : LES ÉMULSIFIANTS pour sauces, mayonnaises, pâtisseries,… des produits peu recommandables issus de la chimie, qui « forcent » la nature. Les mayonnaises et sauces dérivées ne se dégradent pas grâce aux STABILISANTS (E450 à E452) qui maintiennent en l’état les mélanges et les couleurs, mais aussi la structure des émulsions d’eau et de corps gras qui devrait normalement retomber. Ils peuvent aussi bien détériorer notre santé en perturbant l’assimilation des graisses dans notre organisme.

Source "Journal d'un Epicurien et de sa Mona"

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Prenez le temps de bien lire

les étiquettes des produits que vous achetez.

Additifs par ordre de dangerosité Additifs par ordre de dangerosité

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Un autre volet, non moins réjouissant de la chimie alimentaire, concerne celui des arômes qui se sont parallèlement multipliés pour renforcer l’odeur et le goût dans la bouche (flaveur), de conserve ( !) avec les additifs, La CE autorise l’usage de plus de 3000 arômes alimentaires naturels ou de synthèse, qui pour l'instant, ne font l’objet d'aucune évaluation toxicologique. Les industriels  font surtout appel aux arômes de synthèse issus de la parfumerie et de la pétrochimie, plus efficaces souvent que les arômes naturels et beaucoup moins chers, comme par exemple l'acétate d'isoamyle (banane) ; la vanilline ou l’éthylvanilline vanille ; la pyridine (truffe...). Vendus en solution ou en spray, ils concernent toutes les familles odorantes - fruits, fleurs, légumes, aromates, condiments, balsamiques, empyreumatiques (fumée, toasté, pain grillé) - et peuvent être présentés en mélange ce qui rend l'offre illimitée.

 

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En circulant sur les sites marchands, on est étonné de trouver en plus des arômes de cuisine dits « de transformation pour aider » les chefs ou les particuliers arômes de viande (agneau, bœuf, canard rôti, bacon, volaille, foie gras...), poissons, mollusques (coquillages, huitres, moules...),crustacés (langouste, langoustine, homard, crevette, crabe...), caviar, champignons (cèpe, girolle, morille, truffe blanche et noire, champignon de Paris...), fromages (chèvre, roquefort,...), pâtisserie (crumble, tarte-Tatin, tiramisu, praliné, nougat, croissant...), etc. La CE impose de mentionner sur les aliments emballés, à côté des codes E, arômes naturels » ou simplement arômes » s'ils sont de synthèse. Aucune obligation pour les artisans boulanger, crémier-fromager, charcutier, boucher, confiseur, chocolatier, glacier, traiteur, restaurateur, apiculteur, viticulteur (sauf mention des sulfites)...

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 17:22

 

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Près de la place centrale de Puligny-Montrachet, une sculpture de vignerons

représentés dans leurs divers travaux de la vigne.

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Sur la route qui mène de Beaune à Chagny,

une énorme grappe de raisins en bronze orne le carrefour

menant au village  de  Puligny-Montrachet.

 

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Les cabottes ou cabotes, ou parfois cabioutes, sont des cabanes qui servaient

autrefois d'abris ou de resserres aux vignerons de Côte-d'Or.

vignes bourgogne-7 [Résolution de l'écran]

Automne en Côte d'Or près de PERNAND VERGELESSE

vignes bourgogne-28 [1600x1200]

vignes bourgogne-16 [1600x1200]

La Côte d'Or est couverte de vignobles réputés dont les feuilles prennent une

couleur dorée en automne, c'est ce qui a inspiré le nom poétique

« Côte d'Or » au département de la Côte d'Or en 1790 

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 10:08

 

  

Chers lecteurs

d'Affaire-de-goût
 amis connus où visiteurs inconnus
je souhaite à tous

une bonne année

2013

Bonnes Fêtes à vous et votre famille
 profitez de tout
La vie et un long voyage où il faut savourer toutes les étapes.
Hier est histoire
Demain un mystère
Aujourd’hui un cadeau
Amicalement

jacmetron


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22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 10:39

 

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Il fallait s'en douter à moins de 10€ le kilo.../

Le panga est un nouveau poisson asiatique que nous trouvons dans les grandes surfaces et poissonneries, surtout sous forme de filets, à un prix relativement bas. Le panga est, au Vietnam, un poisson de culture industrielle intensive ; plus exactement, il vient du delta du Mékong, et il est en train d'envahir le marché à cause de son prix.

Le Mékong est l'un des  fleuves les plus contaminés de la planète. Les pangas sont infectés, à  hauts niveaux,  de bactéries, (arsenic, résidus industriels  toxiques et dangereux, sous-produits du secteur industriel en pleine  croissance), métaux contaminés, phénols polychlorés (PCB) ou DDT et  leurs (DDT), chlorate ; des composants (CHL), hexachlorociloxane, isomères (HCH) et hexachlorobenzène (HCB). Il sont alimentés avec des poissons morts, des restes d'os et avec une  farine d'Amérique du Sud, le manioc et des résidus de soja et graines. Il est évident que ce type d'alimentation peu salubre n'a rien à voir avec l'alimentation d'un environnement naturel. Cela ressemble beaucoup à l'alimentation des vaches folles.

Le panga grandit 4 fois plus vite que dans la nature à l'état normal. De plus, quelques scientifiques ont découvert que si l'on injectait des hormones féminines dérivées d'urine déshydratée de femmes enceintes, aux femelles panga, la femelle panga produirait ses œufs plus rapidement et en grande quantité, ce qui n'arriverait pas dans un environnement naturel (une femelle panga arrive ainsi à produire 500.000 œufs en une fois).

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De fait, ce sont des poissons qui reçoivent des hormones injectables (produites par une entreprise pharmaceutique chinoise pour accélérer le processus de croissance et de reproduction. Etant donné la prodigieuse quantité de pangas disponible, ils termineront également dans d'autres aliments comme le surimi (ces petits bâtonnets faits avec de la chair de poisson), poisson en boîte et probablement dans quelques aliments pour animaux (chiens et chats).

REGARDEZ LA PROVENANCE DU POISSON ET N'ACHETEZ JAMAIS DE POISSON  ASIATIQUE AUSSI PEU CHER QU'IL SOIT.

LES GRANDES SURFACES et beaucoup de POISSONNERIES NE SE PREOCCUPERONT JAMAIS DE VOTRE SANTE !!!

panga-3JPG.JPGSource

 forum.doctissimo.fr


lexpansion.lexpress.fr/entreprise/quand-manger-est-un-danger

 

www.aujourdhui.com/forum/minceur/alimentation-nutrition

 

www.jesuismalade.com

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 08:45

 

Vente à la ferme le samedi de 9 h00 à 12h00
8, Grande Rue 
03 84 68 79 83
lafleurizelle@orange.fr

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Ahhhh..... le bon beurre !

Ayant acheté du beurre cru bio « La Fleurizelle » (un vrai régal)

à Gray au magasin «Espace BIO Nature»,

j’ai voulu  connaitre qui  l’avait fait et je suis allé à Aboncourt-Gésincourt dans la toute nouvelle fromagerie

installée à la ferme bio de La Motte à Aboncourt-Gésincourt,

Annie Drouet

fabrique du beurre cru, de la crème fraiche, des yaourts et de la cancoillotte bio.

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  photo : L'Est Républicain

Arnaud  LEMERCIER élève des vaches Montbéliardes en bio et  Annie DROUET transforme le lait de la ferme.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, la cancoillotte bio, même en Franche-Comté, n'existait pas.

Annie Drouet a relevé le défi, trouvant enfin un moyen de supprimer les phosphates utilisés jusqu'alors pour faire fondre le metton,  et du coup interdisant toute appellation bio

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  photo : L'Est Républicain

 

Quelques mots surLa Fleurizelle


Annie DROUET et Arnaud LEMERCIER sont agriculteurs à Aboncourt Gésincourt dans le département de la Haute Saône.

La production de lait de vache est leur activité principale,

ils disposent d’un troupeau de 35 vaches de race Montbéliarde.
Ils produisent sur la ferme l’ensemble des céréales,

des fourrages et de la paille nécessaires à leurs animaux.

En 2002, ils ont fait le choix de convertir la totalité de l’exploitation

en agriculture biologique et ont obtenu la certification en 2005.
Développer un atelier de transformation fromagère leurs tenait à cœur
afin

 de maitriser leur production et offrir des produits

encore inexistant en agriculture biologique :

le metton et la cancoillotte, des spécialités fromagères de notre région
(le metton : lait écrémé caillé et affiné, c’est le fromage

qui est utilisé pour fabriquer la cancoillotte).
Apres une formation fromagère pour Annie

à l’Institut de transformation du lait de Poligny (39)

et un BEPA pour s’installer comme jeune agriculteur.

Après la réalisation des travaux de la fromagerie,

ils ont débuté l’activité fromagère en septembre 2009.
Ils transforment entre 600 et 900 litres de lait par semaine en metton,

cancoillotte, crème fraiche crue, beurre cru et yaourt.

Pour respecter le cahier des charges Bio, il a fallut à Annie Drouet trouver une parade

à l’utilisation des phosphates utilisés pour fondre.

Ce sera un « sel de fonte » qui n’est autre qu’un dérivé du citron.
Vente à la ferme tous les samedis matin de 9h à 12h,

on trouve aussi leurs produits à Biocoop Vesoul,

La Vie Claire Jussey, Espace Bio Nature à  Gray.

 

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  photo : L'Est Républicain

 

Allez y le samedi matin, ça vaut le voyage,

sinon téléphonez pour connaitre les lieux de vente de  leurs produits en magasin bio.

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  photo : L'Est Républicain

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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 09:56

 

Aujourd'hui, seule la provenance des viandes est obligatoire : le client d'un restaurant n'a qu'à se fier à son petit doigt pour savoir si le hachis Parmentier a été fabriqué dans les usines Davigel et simplement passé au micro-ondes ou si le restaurateur a acheté des pommes de terre, du bœuf, des oignons… et cuisiné la recette sur place.

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Un amendement « tout simple »

Aucune loi n'interdit de se dire restaurateur sans rien connaître à la cuisine. Ce n'est plus le cas pour les boulangers : depuis 1998, celui qui ne pétrit pas sur place n'a droit qu'à l'appellation « dépôt de pain ». Aucune loi n'interdit non plus d'indiquer sur sa carte que la tarte aux pommes est «  maison  » alors qu'elle a été achetée chez Metro et fabriquée dans les usines Pasquier.

Fernand Siré, député UMP et médecin, est issu d'une famille de restaurateurs. Le 4 octobre 2011, il a déposé un amendement dans le cadre d'une loi sur la consommation. L'élu nous raconte avoir voulu faire un « texte tout simple », le bon sens même :

« Que le consommateur sache si les plats sont élaborés sur place et si les produits sont frais. »

Il s'est ensuite rendu compte qu'« il ne faut pas rendre la carte trop complexe. Une avalanche d'infos pourraient dégoûter le consommateur ».

Pour Xavier Denamur, il y a moyen de faire simple :

« Les restaurateurs réalisant entièrement leurs plats dans leurs cuisines à base de produits bruts et frais pourraient revendiquer la mention “cuisine maison”. Les fromages, charcuteries, poissons fumés, pains, viennoiseries, les condiments, les glaces et les pâtes sortiraient du champ d'application. Une dérogation permettrait l'utilisation de poissons, viandes, crustacés congelés à condition que cela soit signalé. »

Il imagine un pictogramme pour le « fait maison » et un autre pour la « nourriture industrielle », ce qui veut dire que le plat peut contenir des additifs chimiques, des épaississants, des stabilisants, des colorants, des agents de sapidité. La liste de tous les ingrédients et ajouts devrait être à disposition des clients. Des précisions sur la provenance des produits (local, AOC, bio, poisson sauvage ou d'élevage) pourraient aussi être apposées.

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 « Un sushi ou un carpaccio, c'est forcément du congelé »

Roland Héguy, le président du principal syndicat patronal, l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih), a tenté de nous expliquer comment il pouvait à la fois défendre la transparence et souhaiter qu'elle ne s'applique pas à tous. Cela donne, dans un grand bafouillage :

« Celui qui travaille bien doit être mis en avant et, par déduction, si rien n'est écrit et que les médias font leur travail, le client comprendra… Les gens qui déjeunent en vingt minutes, ça ne les dérange pas que la nourriture soit réchauffée. Et, quand c'est surgelé, ça doit se voir et être moins cher… »

A cours d'arguments, il me demande de ne pas écrire pour autant qu'il défend la restauration industrielle. Et Didier Chenet, son homologue du syndicat minoritaire Synhorcat, de préciser :

« Si on dit ça, c'est frais, ça sous-entend que le reste ne l'est pas, et donc n'est pas de qualité. Or, un sushi ou un carpaccio, en raison des normes d'hygiène, c'est forcément du congelé. »

Source : rue 89

 

 

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 15:38

Samuel Richardet « Maître Restaurateur  

Label indiquant que la cuisine est faite sur place à partir de produits bruts, s’appelle « Maître restaurateur ». Seuls 1 700 restaurants ont ce label… sur 120 000 points de restaurations.

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  Déjeuner autour d’une très bonne bouteille de Saumur Champigny « Clos Rougeard » « Les Poyeux » 2007

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Recherche des bons produits, recettes inventives, très belle carte des vins à prix doux ! 

Accueil souriant et service attentif sous l’œil de Julie Richardet.

Excellent rapport qualité prix.

Site Internet « Le Grapiot »

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 18:10

 

 

 Le 24 Novembre 2012  est une date importante pour Romuald, c’est son anniversaire et le jour de la sortie de son très beau livre de cuisine, avec une émouvante préface de

Jean Paul Jeunet. ROMUALD  voir ici ROMU-2--Copier-.jpg

  Ce livre, c’est l’histoire d’un homme de cœur amoureux des bonnes choses et des gens qui les produisent, bref d’un chef de cuisine Meilleur Ouvrier de France 2004, pour qui rien ne se fait sans efforts qui a le respect des choses de la vie. Le respect de la famille, des amis, du travail bien fait, des traditions et de tout ce qui fait la valeur d’un homme. Je n’ai pas ici assez de place pour vous montrer toutes les photos que j’aurai voulu mettre, voici un petit aperçu de ce livre.

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Valentine et Lorette ses filles

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Romuald et ses parents Marie-Thérèse et Roland

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Catherine sa femme

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Une des recettes: Risotto « Carnaroli » au vieux Comté et Morteau, écrevisses sauvages en meunière de noisettes et vin jaune

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Jean Paul Jeunet et Romuald Fassenet 

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BON ANNIVERSAIRE ROMUALD

 

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